Pour avoir osé cingler l’œuvre du Badigeonneur.
Peinte à la volée, emprisonnée d’un trait,
Elle fut condamnée à se taire à jamais,
Par l’artiste lui-même qui, après lui avoir tiré le portrait,
Lui ôta les lèvres d’un geste rageur.
Elle fut condamnée à se taire à jamais,
Pour avoir osé cingler l’œuvre du Badigeonneur.